Historique et mention de la vie associative
Pour la petite histoire, Louise Larocque-Guérin était la personne proche aidante de son mari, Jean, atteint de la maladie d’Alzheimer. Elle s’est rapidement rendu compte que le répit était manquant sur le territoire des Laurentides. Il serait donc bénéfique qu’il existe un organisme pour améliorer les conditions de vie des personnes proches aidantes et aidées.
Grâce à un nombre impressionnant d’appuis et de bénévoles, elle a mis sur pied une halte-répit qui démarra ses activités en 1998. De ce fait, le 28 octobre 2002, la Maison Aloïs Alzheimer des Laurentides était officiellement créée. Par conséquent, la persévérance des bénévoles et un don majeur de Mme Larocque-Guérin ont mené à l’acquisition et à la rénovation de l’ancienne Chandellerie Dupuis. Finalement, en 2010, la Maison Aloïs avait enfin un milieu de vie.
Encore aujourd’hui, grâce à la volonté de la communauté, des membres et des partenaires de la Maison Aloïs, ils continuent de se mobiliser et de s’impliquer pour répondre à un besoin de la collectivité et assurer une bonne vie associative.
En effet, en tant qu’organisme communautaire autonome (OCA), la vie associative à la Maison Aloïs est un vecteur d’engagement par et pour ses membres. De manière plus générale, ces derniers peuvent prendre part à chaque fondement de la Maison pour mieux la comprendre, plus s’impliquer et la faire grandir.
C’est ensemble que nous partageons l’intelligence collective, les bonnes pratiques et une communion d’idées. C’est grâce à leur apport que l’organisme développe des activités, des services adaptés et des pratiques ajustées aux besoins singuliers et évolutifs. Chaque pièce s’ouvre sur une fenêtre de possibilités permettant un futur du bien-vieillir ensemble.